Wednesday, October 25

Quand la propagande albophobe se veut éducative

Les gens en toute possession de leur raison auront vu les énormes failles dans l'argumentaire de ce reportage diffusé à l'émission Enjeux à Radio-Canada sur l'expérience d'une enseignante qui veut, dit-elle, inculquer à ses élèves un esprit critique en leur faisant ressentir que la discrimination est mauvaise.

Cette enseignante prend la plus impopulaire des discriminations, celles basées sur des critères ethniques/raciaux et l'extrapolera sur l'ensemble du processus mental de discrimination et ainsi conditionera en fait ses élèves à ne pas avoir d'esprit critique puisque la discrimination, qu'elle soit intellectuelle, morale ou sociale ou autre est la base d'un esprit indépendant et sain puisque c'est un esprit qui peut sélectionner, refuser et rejeter. Les raisons de cette sélection peuvent être valides ou invalides, l'important à la base n'est pas le pourquoi mais le potentiel de sélection raisonné. C'est ce potentiel qui amène des individus à être autre chose que des égocentriques masturbateurs et à placer certaines idées au-dessus d'autres, à travailler pour des causes sociales, politiques, morales, etc.

Une hypothétique absence complète de discrimination serait fatale à l'individu ou au groupe qui en serait dépourvu: il deviendrait socialement, politiquement et culturellement parlant impotent et serait une proie facile pour un prédateur. Pour plusieurs malhonnêtes colporteurs de l'indiscrimination c'est d'ailleurs l'effet qu'ils recherchent: retirer à un groupe son potentiel de défense collective.


NOTE: à propos du problème de harcèlement et de railleries contre certains élèves de la part d'autres

http://www.radio-canada.ca/actualite/v2/enjeux/niveau2_10939.shtml

Bon an mal an, les élèves se trouvent un souffre-douleur. Cette année, Pierre-Luc, de par son obésité, est victime des moqueries de ses pairs.

Un des facteurs aggravant de cette réalité de nos écoles, les souffre-douleur, est l'absence d'identité supra-individuelle, de conscience ethnique, supprimée par la grande campagne d'indiscrimination masochiste des précédentes décennies. Je parie que par exemple dans les écoles juives où les enfants sont encouragés à avoir une forte conscience ethnique et historique il y a beaucoup moins de souffre-douleur puisque que l'entraide, la solidarité raciale et les soucis culturels, sociaux et politiques prennent le dessus sur ces micro-solidarités éphémères et juvéniles qui produisent des souffre-douleur. Si l'enseignante Annie Leblanc veut que ses élèves soient plus matures et cessent de prendre pour cible Pierre-Luc ou d'autres elle devrait inculquer une conscience de groupe à ces jeunes au lieu de ramasser les outils de Jane Elliott et Henri Tajfel qui ont été conçus justement pour désolidariser les membres de notre race.

* * * *

compte-rendu de l'émission tiré d'un fil sur le forum Québec-Politique :

À l'émission Enjeux donc, animé par un enfoiré de communiste égalitariste antiraciste nommé Alain Gravel, on nous présentait La Leçon de discrimination.

http://www.radio-canada.ca/actualite/v2/enjeux/niveau2_10939.shtml

Les images du générique montrent, entre autres, deux hommes s'étreindre, une femme blanche portant un bébé noir à son sein.

Cette leçon sera filmée dans une vrai classe du primaire et se base effectivement sur l'expérience d'une certaine Jane Elliot aux États-Unis. Le sexe féminin est sur représenté à tous les niveaux dans ce truc.

Le but de l'exercice est de démontrer que la discrimination est absurde et les enfants seront les acteurs de l'expérience qui prendra ainsi un caractère apparemment irréfutable, puisque c'est par leur comportement spontané que sera faite la démonstration.

Les enfants sont informés au début que cela est une expérience, ils pourraient donc comprendre que ce qui va suivre ne sera pas normal, raisonner et se situer au-delà de l'exercice. Sans doute ils y arrivent jusqu'à un certain point, mais à leur âge ils n'auront pas assez confiance en eux pour dominer la situation. Ils seront l'objet de la manipulation intellectuelle.

La professeur prépare le terrain la veille. Elle évoque l'émission Tout le monde en parle où le Doc Mailloux parla des études sur le QI des noirs. Elle souligne qu'il est un psychiatre et qu'il affirme que les noirs sont moins intelligents.

Le lendemain, elle annonce que l'on va se livrer à une expérience sur la discrimination.



Elle commence: "On sait ce que c'est la discrimination, c'est le fait de ne pas être respecté". Elle évoque un ouvrage qu'elle a lut et qui affirme que les petits sont supérieurs. Ils sont plus intelligents, plus créatifs, plus sages, font des travaux plus propres etc. Les enfants élèvent des protestations, critiquent comme ils le peuvent ces énoncés. Mais la classe est effectivement séparée en deux groupes les grands et les petits selon la marque de 1m34, une autre donnée scientifique tirée du livre qu'elle dit avoir lu.

Les grands portent un dossard rouge et seront déclarés inférieurs. Suit alors une suite d'épisodes où les grands s'avèreront incompétents et feront des fautes au tableau. La professeur dira, "bien sûre c'est un grand". Quand un petit réussit, elle dira, "bien sûre c'est un petit". Elle repère des écarts de comportement, les souligne, nomme les fautifs en soulignant leur grandeur comme explication, preuve de la justesse de la théorie du début.

Le lendemain, les rôles sont inversés. Ce sont maintenant les petits qui sont déclarés inférieurs, basé sur d'autres théories soulignant que les grands avaient accompli les plus grands exploits. L'expérience continue de fonctionner sur les mêmes mécanisme.

Il sera finalement rappelé à tous, que ce n'était qu'un jeu, qu'une expérience, que rien n'était vrai dans tout cela. Les enfants prennent conscience combien cela fut pénible et ridicule. Est montré alors que l'expérience a fonctionné. La discrimination a disparu. Personne n'ose plus se moquer de l'enfant souffrant d'excès de poids.


Les conclusions seront que la discrimination est nécessairement absurde, qu'elle fait mal et que c'est elle qui crée les différences parfois observables dans les comportements et les talents, par la carence d'encouragements. Parallèle avec les noirs; c'est le racisme qui explique leur manque de réussites collectives et individuelles. Et aussi, que la discrimination découle de la solidarité de groupe, une tendance archaïque héritée de notre animalité originelle. C'est une attitude laide, primitive, infra-humaine qui se manifeste aussitôt que des individus forment alliance et deviennent alors amoraux et méchants, dépourvu de sens critique devant l'autorité.

La leçon prétend démontrer l'absurdité de la discrimination en choisissant un cas de discrimination justement absurde. Il est alors assumé, mais non démontré, qu'il en ira de même de toutes les autres formes de discriminations.

On fait spontanément le lien avec le nationalisme et l'Allemagne Hitlérienne et la situation dans les camps de concentration, où les gardiens plus tard, à leur procès, affirmeront qu'ils ne faisait que suivre les ordres. Et nous savons très bien que c'est là où cette manipulation antiraciste veut en venir. Le mécanisme d'abandon du sens critique est évoqué par la professeur dans son analyse. Elle aurait aimé que les élèves se révoltent. Mais ça ne s'est pas produit souligne-t-elle. Ce serait en effet merveilleux qu'à 9 ans, nos enfants soient déjà des sortes de scientifiques super-aventuriers capables de mettre en doute la parole de leurs professeurs et de les désarçonner. Mais ce n'est pas comme ça. Aussi leur reprocher d'une certaine façon de s'être soumis à la dynamique de groupe et d'avoir discriminé, c'est s'éblouir et la question ne se trouve pas là. Les enfants sont sensés obéir. Ils savaient que c'était une expérience mais l'isolement et la pression du groupe désarma le sens critique qui aurait justement fait échouer l'expérience antiraciste elle-même. Ils ne se seraient pas pliés au système de discrimination, sachant que c'était faux de toute façon, ni après ne se seraient-ils pas regroupé dans la conclusion antiraciste.

Que certaines discriminations aient cessées après l'expérience est certainement la réalité. Mais cela est dû à ce même conditionnement que pourtant l'expérience dénonce. La pression du groupe, le conformisme, on ne fait plus de discrimination. Celui qui osera se moquer du gros sera vilipendé.

Et qui a des préjugés? Elle en accuse les enfants, mais ne préjuge-t-elle pas elle-même à leur sujet ? Pourtant lorsqu'elle les interroge sur l'infériorité intellectuelle des noirs, ils lui répondent par des énoncés antiracistes. Vrai, l'un d'eux finit par suggérer que les noirs sont plus susceptibles de se livrer au vol, sont plus violents particulièrement contre nous les blancs. Désolé de vous faire de la pe-peine les ti-zamis antiracistes de ce forum, mais les statistiques lui donnent entièrement raison.

L'évocation d'études scientifiques est présentée comme une chose nauséabonde, utilisés par les méchants racistes. Mais ne doit-on pas à la fois s'en remettre à la science? Comment s'y reconnaître ? Il ne reste qu'une solution. La science est bonne si elle mène à plus d'antiracisme. Mauvaise lorsque c'est le contraire. Il est amusant de souligner que l'animateur Alain Gravel affirmera que l'expérience repose justement sur des bases scientifiques solides. Évoquer la science est fallacieux, seulement lorsque c'est pour défendre des points de vue contraires à l'orthodoxie antiraciste, bien-sûre.

Pour expliquer la tendance à discriminer, on évoque la Nature Humaine. Prétend-t-on alors qu'il faut altérer la Nature Humaine ?? Veut-on transformer l'être humain ?

Oh si !

Je crois que nous sommes exactement comme les enfants du reportage au cours de l'expérience. Nous sommes victimes de conditionnement émotif et intellectuel, nous embarquons tous. Mais c'est l'antiracisme qui domine et que l'on nous enfonce dans le fond de la gorge.

À propos de ces solides bases scientifiques, qui en était l'auteur? Qui se cache derrière tout ça ?

Hé bien...

Hé oui, vous l'avez deviné, cou cou, un p'tit choux de Yahweh !

Et je ne l'invente pas M. Béni oui oui.

On nous présente dans le reportage Henry Tajfel, un rescapé des camps de la mort. Il a inauguré ce genre d'expérience où les individus aussitôt qu'on leur en donne la chance, discriminent alègrement, sur la base de n'importe quelle identité qu'on leur a fourni. Un nanard, professeur à l'UQAM, ancien étudiant de Tajfel, explique que le besoin de solidarité collective a sans doute commencé chez nos ancêtres primates, par la nécessité de se défendre en groupe. (Wow !)

Ne pourrait-on pas suggérer, à propos des groupes raciaux que nous connaissons, où la tendance à discriminer est effectivement immédiate et extrême, qu'un groupe qui n'aurait pas discriminé, n'aurait tout simplement pas pu exister pour commencer! Un groupe existe que si il se reconnaît lui-même et se préserve en perpétuant sa séparation génétique des autres. C'est un principe de biologie évolutive assez fondamentale

N'est-il pas aussi évident que puisque les stratégies collectives l'emportent sur les stratégies individuelles, l'entraide offrant un avantage concurrentiel, les groupes les plus soudés, les plus discriminateurs l'emportent toujours sur les autres ?

N'est-il pas un peu révoltant de voir encore un juif générer une matière a penser venant combattre la solidarité de groupe, adressée à nouveau aux nations d'origines européennes, alors que les juifs ont Israël, l'état le plus discriminateur, le plus raciste sur terre ?

La seule conclusion n'est-elle pas que les juifs, en tant que groupe ayant une grande stratégie de survie, est unique d'entre tous les peuples, en ce sens qu'il ne se contente pas de pratiquer l'ethnocentrisme comme les autres (et plus que les autres), mais qu'il essaie en plus d'affaiblir celui des autres groupes qui lui sont concurrents dans la lutte pour le contrôle des ressources, alors qu'il vit parmi eux, en essayant influencer leur code de moralité ?

Les travaux de M. Tavfel sont précisément un exemple de cette entreprise.

Ils ont réussit en Occident, à faire triompher l'antiracisme dans la tête de la majorité. Tous collectivement, discriminent ceux qui osent élever des voix favorables à la survie même de leurs propres nations.

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Samedi dernier 8h00, la suite de la leçon de discrimination.

Les parents regardent l'émission et voient leur enfant agir. Que des mamans sauf un seul père, mais qui acquiescera niaisement lui aussi. Tout le monde est à l'anti-discrimination et personne alors ne se rend compte qu'ils sont encore bien plus obéissants devant la parole autoritaire du point de vue libéral que les enfants ne l'ont été face à la discrimination grands-petits. Tout le monde dit ce que l'on attend d'eux.

La nullarde professeure reprend son thème intellectuellement débile à propos du sens critique, voulant que n'importe qui puisse affirmer n'importe quoi en prétendant que cela repose sur des bases scientifiques. C'est exactement ce que Alain Gravel l'animateur a fait lui-même pourtant avec la pseudo-science de monsieur l'élu de Dieu Tajfel. Et maintenant, n'importe qui peut infirmer n'importe quoi en prétendant que n'importe qui peut affirmer n'importe quoi en prétendant que cela repose sur des bases scientifique alors !

Thursday, October 19

ce qu'on a oublié de vous dire sur Tienanmen



Il fallait bien cacher la vérité au monde et ne surtout pas dire que les manifestations pour la liberté de 1989 ont débuté par des protestations et émeutes raciales à la suite de rumeurs de viols de chinoises par des étudiants africains et d'incidents (i.e. rapprochements sexuels) impliquant des noirs et des chinoises.

extrait du livre “La face cachée de la Chine” de Jean-Marc et Yidir Plantade sur ilikeyourstyle.net :

http://ilikeyourstyle.net/index.php/2006/10/05/la-verite-sur-tienan-men/

Combien, parmi le grand public, savent que les évènements de la place Tianan men de 1989 ont eu comme prélude des émeutes anti-étrangers? En effet, depuis les années soixante, la Chine, au nom de la solidarité prolétarienne et tiers-mondiste, accueille un grand nombre d’étudiants africains, à qui elle propose des bourses supérieures à celles qu’elle octroie aux étudiants chinois. Cette situation « privilégiée » des Africains à l’université, ainsi que des préjugés tenaces à l’égard des Noirs, provocait régulièrement des coups de colère de la part de certains étudiants chinois. L’hostilité à l’égard des subsahariens se faisait particulièrement sentir lorsque des contacts publics avaient lieu entre des garçons africains et des jeunes filles chinoises. Le premier incident anti-africain répertorié date de 1979, à Shanghai, lorsque des étudiants africains sont attaqués alors qu’ils jouent de la musique à fort volume sonore en compagnie de jeunes Chinoises. Ce type de fait divers devient de plus en plus courant durant les années quatre-vingt et culmine le 24 décembre 1988. Ce jour-là, deux étudiants africains cherchent à entrer avec deux jeunes chinoises sur le campus de l’université Hehai, a Nankin, pour participer à un réveillon de Noël. Devant la demande du gardien de vérifier les papiers d’identité des jeunes femmes, une querelle éclate et dégénère en une bagarre générale entre étudiants africains et chinois, qui dure jusqu’au petit matin. Treize personnes sont blessées au cours de la nuit. Dans la journée du lendemain, une rumeur court disant que les Africains ont tué un Chinois pendant la nuit. Trois cents étudiants chinois se réunissent alors et défoncent le portail de la résidence des étudiants étrangers, détruisant les dortoirs et hurlant « Sha hai hei gui ! » (« Tuons les démons noirs » ! ). Les étudiants africains, ainsi que les autres étrangers, 140 personnes au total, tentent de fuir vers la gare, où la police leur refuse le droit d’embarquer. Le 26 décembre, une manifestation de 3000 étudiants se dirige vers la gare et demande pour la première fois, outre l’expulsion des étrangers, le respect des droits de l’homme et des réformes politiques. Ces manifestations durent plusieurs jours et sont réprimées par la police antiémeute. Ces manifestations anti-étrangers (particulièrement anti-Africains) se propagent à Shanghai et à Pékin, où elles sont considérées comme un des éléments déclencheurs du Printemps de Pékin, qui a lieu quatre mois plus tard, à l’occasion des funérailles de Hu Yaobang (ex-secrétaire général du parti, considéré comme un réformateur).

en anglais:
auteur: Erin Chung. Écrit pour The Institute for Diasporic Studies chez la Northwestern University. On peut voir la page originale ici sur archive.org:
http://diaspora.northwestern.edu/cgi-bin/WebObjects/DiasporaX.woa/wa/displayArticle?atomid=711



Beijing students protest an alleged rape by one of the foreign students. Time Magazine, Jan 16, 1989

Nanjing Anti-African Protests of 1988-89

From December 1988 to January 1989, students in Nanjing, China waged violent protests against visiting African students. These protests became the precursor to the nationwide pro-democracy movement in the spring of 1989, which resulted in the massacre of Chinese students by armed troops in Tiananmen Square. Displaying an uneven combination of racial tension, nationalism, and reformism, the Nanjing protests fused mass hostility toward visiting African students with official nationalist discourse to create the momentum for a popular movement for political change. At the same time, they marked the denouement of China's proclaimed leadership of the "Third World" with long-term consequences for Sino-African relations. Yet, these protests were neither isolated events, as the Chinese government claimed, nor simply outbreaks of general xenophobia directed at all foreigners. Frank Dik�tter has traced various discourses of race in China from the late nineteenth century based on myths of origins, ideologies of blood, and narratives of biological descent that have been central to the cultural construction of Chinese identity. Barry Sautman attributes the rise of anti-Africanism among the Chinese intelligentsia in the reform era (1978-present) to the return of racial stereotyping and elitist values dating back to Imperial China that link and denigrate those who are dark and those who are poor.

(...)

The Nanjing protests in December 1988 were triggered by a series of confrontations between African and Chinese students at Hehai University. The conflict intensified on December 24 when two African male students who were escorting two Chinese women to a Christmas Eve party on campus were stopped at the front gate and ordered to register their guests. A new university regulation that restricted registration procedures for guests visiting foreign students had been implemented in October of that year to stop African male students from consorting with Chinese women in their dormitories. A quarrel between one of the African students and the Chinese security guard escalated into a brawl between African and Chinese students that lasted until the next morning and resulted in the injury of eleven Chinese and two Africans. On the next day, 300 Chinese students, angered by a rumor that a Chinese man had been killed by an African student the previous evening, stormed the African students' dormitory chanting, "Kill the Black Devils!" The police arrived to restore order two hours later. Fearing for their safety, over 60 African students left for the railway station to reach their embassies in Beijing. Local authorities prevented them from boarding the trains in order to retain those involved in the Christmas Eve brawl. In response, about 140 foreign students, including other African students in Nanjing and a dozen non-African foreign students, sat-in at the train station to demand that they be allowed to board a train for Beijing.

Meanwhile, Chinese students at Hehai University mobilized students from other universities in Nanjing to protest what was perceived as special treatment for foreigners and to demand justice for the alleged murder of a Chinese man the night before. Approximately 3,000 students marched in the streets, singing the national anthem and chanting, "Down with Black Devils!" On December 26, the student demonstrators from Hehai University marched to the provincial government office to demand that the African students be held responsible for their crimes according to the full force of Chinese law. Holding a banner that read, "Protect Human Rights," the demonstrators demanded the reform of a corrupt legal system that privileged foreigners at the expense of ordinary Chinese. That evening, a group of more than 3,000 Chinese students marched to the railway station with banners calling for the protection of human rights, political reform, and justice. The African students were immediately sequestered by the police to a military guest house in Yizheng, 60 kilometers northeast of Nanjing. The police declared the student demonstrations illegal and, with the help of riot police from neighboring provinces, quelled the demonstrations in the next few days. By early January 1989, the authorities arrested and deported three African students from Hehai University who were suspected of instigating the Christmas Eve brawl and sent the remaining students back to Nanjing. The African students were instructed to report to their school authorities before leaving their campuses and to not go out at night. Furthermore, the Hehai University president, Liang Ruiji, announced that African students were required to continue registering their guests at the front gate and were restricted to no more than one Chinese girlfriend whose visits would be limited to the lounge area.

Friday, October 6

'La Droite' est un mirage

"Si seulement on pouvait avoir en même temps un John McCain aux États-Unis, un Harper au Canada, un Aznar II en Espagne, un gouvernement centre-droit en Suède, un Sarkozy atlantiste en France, une Merkel en Allemagne, un gouvernement de centre-droit au Mexique, un gouvernement décent en Grande-Bretagne, un Australien qui ait de l'allure, la droite au pouvoir en Pologne, etc..."


C'est très naif pour ne pas dire criminellement naif de s'imaginer que "la droite" ou "les conservateurs" vont apporter autre chose qu'une sensation réconfortante et un soutien à Israël.

trois exemples:

USA:
John McCain est un partisan de l'invasion mexicaine, lui et Bush sont en faveur d'une amnestie qui récompensera 10+ millions d'illégaux avec la citoyenneté américaine et sont contre l'érection d'une frontière au Sud pour stopper le flot migratoire d'illégaux. McCain est un partisan des dépenses sans bornes pour les programmes sociaux, l'armée, etc. Il sera à peine différent de son rival probable Hilary Clinton. L'establishment souaite voir comme d'habitude deux adversaires qui seront dociles envers eux et donc essentiellement identiques à quelques détails insignifiants près dans leurs politiques extérieures et intérieures. Il y a déja plusieurs années que le Parti Républicain est devenu un parti similaire au Parti Démocrate. Une aberration comme le 'No Child Left Behind' est digne de Bill Clinton. Je ne serais pas surpris que Joe Lieberman - un pro-avortement, anti-armes à feu, anti-chrétien, pro-immigration, pro-homos, etc. le roi libéral des libéraux au Sénat - fasse défection au parti Républicain parce que la base des électeurs démocrates n'est pas assez pro-Israel à son goût et qu'il sera bien reçu chez les "conservateurs".

DeLay, Coulter, Kristol Defend Lieberman
http://hollyhester.blogspot.com/2006/08/delay-coulter-kristol-defend-lieberman.html

le Sénateur McCain s'adresse au lobby ethnique mestizo The National Council of La Raza (imaginez la réaction des média si un sénateur donnerait un discours devant un lobby ethnique blanc nommé The National Council of the White Race):

http://www.azcentral.com/12news/news/articles/0627nclr-mccain27-CP.html


La direction nationale du Parti Républicain à d'ailleurs soutenu deux candidats libéraux selon les standards du PR dans leurs courses à la candidature pour les élections, Steve Huffman en Arizona et Lincoln Chafee au Rhode Island, un pro-immigration/pro-illégaux et un pro-mariage gai.

Quoi de mieux pour les gens qui sont réellement au pouvoir que de présenter deux coalitions de "gauche/droite" pro-guerre/pro-Israel sous les drapeaux Républicain et Démocrates ? Le spectacle continuera comme prévu.


FRANCE:
Nicolas Sarkozy est un opportuniste et un carriériste qui parle des deux côtés de sa bouche, discous socialiste ici discours libéraliste là, discours sécuritaire par-ci discours multiculturaliste par-là. Un homme sans convictions, sans parole, sans idées. Mais Valérie Pecresse la porte-parole de son parti l'UMP, réputé "de droite", semble savoir où se trouve l'avenir de la France : dans le métissage sociétal, culturel et racial. Quoi de plus "progressiste" et nihiliste que de promouvoir la destruction d'une nation ?

http://www.fdesouche.com/index.php?2006/08/23/676-la-france-revee-par-les-sarkozistes-une-societe-metissee
"La France est une société métissée qui ne se voit pas comme telle. Il faut pourtant le savoir : les habitants des ghettos et ceux des beaux quartiers finiront par se mélanger. Nos frontières vont s'ouvrir à de nouvelles formes d'immigration, venant d'Asie comme des pays de l'Est. Nous sommes à la croisée des chemins et nous avons peur. La peur de l'autre, de l'étranger.

On construit plus facilement l'avenir lorsque l'on est fier de ce que l'on est, quand on est réconcilié avec son passé. L'histoire de la France est faite de grandeur, d'humanité et nous devons en être fiers. Il y a aussi des mémoires blessées, des personnes sacrifiées et des martyrs. Mais si, en tant que responsable politique, nous passons toute notre énergie à panser des plaies, à réécrire le passé pour le rendre plus acceptable, alors nous ne nous projetons plus dans l'avenir, à savoir la construction d'une société métissée."



Sarkozy cajole les musulmans de France

http://fr.news.yahoo.com/28092006/5/sarkozy-cajole-les-musulmans-de-france.html
PARIS (AP) - Nicolas Sarkozy s'est rendu jeudi soir en "ami" des musulmans de France à la Grande mosquée de Paris pour partager pour la première fois le repas de rupture du jeûne du Ramadan.

Dans une allusion à la présidentielle, le ministre de l'Intérieur a promis de continuer à agir dans les années à venir pour faire vivre une laïcité "vivante" et "offensive".

"Ma visite de ce soir n'est pas protocolaire. Elle est celle d'un ami", a expliqué M. Sarkozy au début de cette soirée d'Iftar.

Avant de dîner avec Dalil Boubakeur, recteur de la Grande mosquée, et les dirigeants du conseil français du culte musulman (CFCM), le ministre de l'Intérieur a dit sa "fierté" de partager ce "moment privilégié", "symbole des relations paisibles qui existent entre la République et les musulmans de notre pays".


ANGLETERRE:
David Cameron la tête des Tories anglais a des positions molles et gauchues sur une foule de sujets et a récemment chié sur Tatcher pour avoir eu une position rationelle à propos de Mandela et de l'Apartheid. Il a embrassé le postérieur du célèbre ancien terroriste qui a plongé l'Afrique du Sud dans l'abîme de la dégénérescence avec le taux de viols le plus élevé au monde et un des taux de meurtres qui place le pays dans le top 5 mondial. Parions que Cameron fera son Sarkozy et ira cajoler les musulmans "anglais".



Cameron rebuts Thatcher's view of Mandela
http://www.telegraph.co.uk/news/main.jhtml?xml=/news/2006/08/28/ntory28.xml


'La Droite' est un mirage, le 'Conservatisme' le camp des perdants.