Wednesday, October 25

Quand la propagande albophobe se veut éducative

Les gens en toute possession de leur raison auront vu les énormes failles dans l'argumentaire de ce reportage diffusé à l'émission Enjeux à Radio-Canada sur l'expérience d'une enseignante qui veut, dit-elle, inculquer à ses élèves un esprit critique en leur faisant ressentir que la discrimination est mauvaise.

Cette enseignante prend la plus impopulaire des discriminations, celles basées sur des critères ethniques/raciaux et l'extrapolera sur l'ensemble du processus mental de discrimination et ainsi conditionera en fait ses élèves à ne pas avoir d'esprit critique puisque la discrimination, qu'elle soit intellectuelle, morale ou sociale ou autre est la base d'un esprit indépendant et sain puisque c'est un esprit qui peut sélectionner, refuser et rejeter. Les raisons de cette sélection peuvent être valides ou invalides, l'important à la base n'est pas le pourquoi mais le potentiel de sélection raisonné. C'est ce potentiel qui amène des individus à être autre chose que des égocentriques masturbateurs et à placer certaines idées au-dessus d'autres, à travailler pour des causes sociales, politiques, morales, etc.

Une hypothétique absence complète de discrimination serait fatale à l'individu ou au groupe qui en serait dépourvu: il deviendrait socialement, politiquement et culturellement parlant impotent et serait une proie facile pour un prédateur. Pour plusieurs malhonnêtes colporteurs de l'indiscrimination c'est d'ailleurs l'effet qu'ils recherchent: retirer à un groupe son potentiel de défense collective.


NOTE: à propos du problème de harcèlement et de railleries contre certains élèves de la part d'autres

http://www.radio-canada.ca/actualite/v2/enjeux/niveau2_10939.shtml

Bon an mal an, les élèves se trouvent un souffre-douleur. Cette année, Pierre-Luc, de par son obésité, est victime des moqueries de ses pairs.

Un des facteurs aggravant de cette réalité de nos écoles, les souffre-douleur, est l'absence d'identité supra-individuelle, de conscience ethnique, supprimée par la grande campagne d'indiscrimination masochiste des précédentes décennies. Je parie que par exemple dans les écoles juives où les enfants sont encouragés à avoir une forte conscience ethnique et historique il y a beaucoup moins de souffre-douleur puisque que l'entraide, la solidarité raciale et les soucis culturels, sociaux et politiques prennent le dessus sur ces micro-solidarités éphémères et juvéniles qui produisent des souffre-douleur. Si l'enseignante Annie Leblanc veut que ses élèves soient plus matures et cessent de prendre pour cible Pierre-Luc ou d'autres elle devrait inculquer une conscience de groupe à ces jeunes au lieu de ramasser les outils de Jane Elliott et Henri Tajfel qui ont été conçus justement pour désolidariser les membres de notre race.

* * * *

compte-rendu de l'émission tiré d'un fil sur le forum Québec-Politique :

À l'émission Enjeux donc, animé par un enfoiré de communiste égalitariste antiraciste nommé Alain Gravel, on nous présentait La Leçon de discrimination.

http://www.radio-canada.ca/actualite/v2/enjeux/niveau2_10939.shtml

Les images du générique montrent, entre autres, deux hommes s'étreindre, une femme blanche portant un bébé noir à son sein.

Cette leçon sera filmée dans une vrai classe du primaire et se base effectivement sur l'expérience d'une certaine Jane Elliot aux États-Unis. Le sexe féminin est sur représenté à tous les niveaux dans ce truc.

Le but de l'exercice est de démontrer que la discrimination est absurde et les enfants seront les acteurs de l'expérience qui prendra ainsi un caractère apparemment irréfutable, puisque c'est par leur comportement spontané que sera faite la démonstration.

Les enfants sont informés au début que cela est une expérience, ils pourraient donc comprendre que ce qui va suivre ne sera pas normal, raisonner et se situer au-delà de l'exercice. Sans doute ils y arrivent jusqu'à un certain point, mais à leur âge ils n'auront pas assez confiance en eux pour dominer la situation. Ils seront l'objet de la manipulation intellectuelle.

La professeur prépare le terrain la veille. Elle évoque l'émission Tout le monde en parle où le Doc Mailloux parla des études sur le QI des noirs. Elle souligne qu'il est un psychiatre et qu'il affirme que les noirs sont moins intelligents.

Le lendemain, elle annonce que l'on va se livrer à une expérience sur la discrimination.



Elle commence: "On sait ce que c'est la discrimination, c'est le fait de ne pas être respecté". Elle évoque un ouvrage qu'elle a lut et qui affirme que les petits sont supérieurs. Ils sont plus intelligents, plus créatifs, plus sages, font des travaux plus propres etc. Les enfants élèvent des protestations, critiquent comme ils le peuvent ces énoncés. Mais la classe est effectivement séparée en deux groupes les grands et les petits selon la marque de 1m34, une autre donnée scientifique tirée du livre qu'elle dit avoir lu.

Les grands portent un dossard rouge et seront déclarés inférieurs. Suit alors une suite d'épisodes où les grands s'avèreront incompétents et feront des fautes au tableau. La professeur dira, "bien sûre c'est un grand". Quand un petit réussit, elle dira, "bien sûre c'est un petit". Elle repère des écarts de comportement, les souligne, nomme les fautifs en soulignant leur grandeur comme explication, preuve de la justesse de la théorie du début.

Le lendemain, les rôles sont inversés. Ce sont maintenant les petits qui sont déclarés inférieurs, basé sur d'autres théories soulignant que les grands avaient accompli les plus grands exploits. L'expérience continue de fonctionner sur les mêmes mécanisme.

Il sera finalement rappelé à tous, que ce n'était qu'un jeu, qu'une expérience, que rien n'était vrai dans tout cela. Les enfants prennent conscience combien cela fut pénible et ridicule. Est montré alors que l'expérience a fonctionné. La discrimination a disparu. Personne n'ose plus se moquer de l'enfant souffrant d'excès de poids.


Les conclusions seront que la discrimination est nécessairement absurde, qu'elle fait mal et que c'est elle qui crée les différences parfois observables dans les comportements et les talents, par la carence d'encouragements. Parallèle avec les noirs; c'est le racisme qui explique leur manque de réussites collectives et individuelles. Et aussi, que la discrimination découle de la solidarité de groupe, une tendance archaïque héritée de notre animalité originelle. C'est une attitude laide, primitive, infra-humaine qui se manifeste aussitôt que des individus forment alliance et deviennent alors amoraux et méchants, dépourvu de sens critique devant l'autorité.

La leçon prétend démontrer l'absurdité de la discrimination en choisissant un cas de discrimination justement absurde. Il est alors assumé, mais non démontré, qu'il en ira de même de toutes les autres formes de discriminations.

On fait spontanément le lien avec le nationalisme et l'Allemagne Hitlérienne et la situation dans les camps de concentration, où les gardiens plus tard, à leur procès, affirmeront qu'ils ne faisait que suivre les ordres. Et nous savons très bien que c'est là où cette manipulation antiraciste veut en venir. Le mécanisme d'abandon du sens critique est évoqué par la professeur dans son analyse. Elle aurait aimé que les élèves se révoltent. Mais ça ne s'est pas produit souligne-t-elle. Ce serait en effet merveilleux qu'à 9 ans, nos enfants soient déjà des sortes de scientifiques super-aventuriers capables de mettre en doute la parole de leurs professeurs et de les désarçonner. Mais ce n'est pas comme ça. Aussi leur reprocher d'une certaine façon de s'être soumis à la dynamique de groupe et d'avoir discriminé, c'est s'éblouir et la question ne se trouve pas là. Les enfants sont sensés obéir. Ils savaient que c'était une expérience mais l'isolement et la pression du groupe désarma le sens critique qui aurait justement fait échouer l'expérience antiraciste elle-même. Ils ne se seraient pas pliés au système de discrimination, sachant que c'était faux de toute façon, ni après ne se seraient-ils pas regroupé dans la conclusion antiraciste.

Que certaines discriminations aient cessées après l'expérience est certainement la réalité. Mais cela est dû à ce même conditionnement que pourtant l'expérience dénonce. La pression du groupe, le conformisme, on ne fait plus de discrimination. Celui qui osera se moquer du gros sera vilipendé.

Et qui a des préjugés? Elle en accuse les enfants, mais ne préjuge-t-elle pas elle-même à leur sujet ? Pourtant lorsqu'elle les interroge sur l'infériorité intellectuelle des noirs, ils lui répondent par des énoncés antiracistes. Vrai, l'un d'eux finit par suggérer que les noirs sont plus susceptibles de se livrer au vol, sont plus violents particulièrement contre nous les blancs. Désolé de vous faire de la pe-peine les ti-zamis antiracistes de ce forum, mais les statistiques lui donnent entièrement raison.

L'évocation d'études scientifiques est présentée comme une chose nauséabonde, utilisés par les méchants racistes. Mais ne doit-on pas à la fois s'en remettre à la science? Comment s'y reconnaître ? Il ne reste qu'une solution. La science est bonne si elle mène à plus d'antiracisme. Mauvaise lorsque c'est le contraire. Il est amusant de souligner que l'animateur Alain Gravel affirmera que l'expérience repose justement sur des bases scientifiques solides. Évoquer la science est fallacieux, seulement lorsque c'est pour défendre des points de vue contraires à l'orthodoxie antiraciste, bien-sûre.

Pour expliquer la tendance à discriminer, on évoque la Nature Humaine. Prétend-t-on alors qu'il faut altérer la Nature Humaine ?? Veut-on transformer l'être humain ?

Oh si !

Je crois que nous sommes exactement comme les enfants du reportage au cours de l'expérience. Nous sommes victimes de conditionnement émotif et intellectuel, nous embarquons tous. Mais c'est l'antiracisme qui domine et que l'on nous enfonce dans le fond de la gorge.

À propos de ces solides bases scientifiques, qui en était l'auteur? Qui se cache derrière tout ça ?

Hé bien...

Hé oui, vous l'avez deviné, cou cou, un p'tit choux de Yahweh !

Et je ne l'invente pas M. Béni oui oui.

On nous présente dans le reportage Henry Tajfel, un rescapé des camps de la mort. Il a inauguré ce genre d'expérience où les individus aussitôt qu'on leur en donne la chance, discriminent alègrement, sur la base de n'importe quelle identité qu'on leur a fourni. Un nanard, professeur à l'UQAM, ancien étudiant de Tajfel, explique que le besoin de solidarité collective a sans doute commencé chez nos ancêtres primates, par la nécessité de se défendre en groupe. (Wow !)

Ne pourrait-on pas suggérer, à propos des groupes raciaux que nous connaissons, où la tendance à discriminer est effectivement immédiate et extrême, qu'un groupe qui n'aurait pas discriminé, n'aurait tout simplement pas pu exister pour commencer! Un groupe existe que si il se reconnaît lui-même et se préserve en perpétuant sa séparation génétique des autres. C'est un principe de biologie évolutive assez fondamentale

N'est-il pas aussi évident que puisque les stratégies collectives l'emportent sur les stratégies individuelles, l'entraide offrant un avantage concurrentiel, les groupes les plus soudés, les plus discriminateurs l'emportent toujours sur les autres ?

N'est-il pas un peu révoltant de voir encore un juif générer une matière a penser venant combattre la solidarité de groupe, adressée à nouveau aux nations d'origines européennes, alors que les juifs ont Israël, l'état le plus discriminateur, le plus raciste sur terre ?

La seule conclusion n'est-elle pas que les juifs, en tant que groupe ayant une grande stratégie de survie, est unique d'entre tous les peuples, en ce sens qu'il ne se contente pas de pratiquer l'ethnocentrisme comme les autres (et plus que les autres), mais qu'il essaie en plus d'affaiblir celui des autres groupes qui lui sont concurrents dans la lutte pour le contrôle des ressources, alors qu'il vit parmi eux, en essayant influencer leur code de moralité ?

Les travaux de M. Tavfel sont précisément un exemple de cette entreprise.

Ils ont réussit en Occident, à faire triompher l'antiracisme dans la tête de la majorité. Tous collectivement, discriminent ceux qui osent élever des voix favorables à la survie même de leurs propres nations.

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Samedi dernier 8h00, la suite de la leçon de discrimination.

Les parents regardent l'émission et voient leur enfant agir. Que des mamans sauf un seul père, mais qui acquiescera niaisement lui aussi. Tout le monde est à l'anti-discrimination et personne alors ne se rend compte qu'ils sont encore bien plus obéissants devant la parole autoritaire du point de vue libéral que les enfants ne l'ont été face à la discrimination grands-petits. Tout le monde dit ce que l'on attend d'eux.

La nullarde professeure reprend son thème intellectuellement débile à propos du sens critique, voulant que n'importe qui puisse affirmer n'importe quoi en prétendant que cela repose sur des bases scientifiques. C'est exactement ce que Alain Gravel l'animateur a fait lui-même pourtant avec la pseudo-science de monsieur l'élu de Dieu Tajfel. Et maintenant, n'importe qui peut infirmer n'importe quoi en prétendant que n'importe qui peut affirmer n'importe quoi en prétendant que cela repose sur des bases scientifique alors !

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